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Cobénéfices en Santé individuelle

1/ La lutte contre la sédentarité :

1/3 des hommes et 1/2 des femmes n'atteignent pas les seuils d'activité physique quotidienne recommandés par l'OMS.

En réalisant ses déplacements du quotidien à vélo, 20 minutes par jour, chaque personne pourrait diminuer le risque de décès précoce de 29% à 41%

2/ Exposition à la pollution sonore

Une exposition prolongée aux nuisances sonores produite par les véhicules motorisés réduit l'espérance de vie en bonne santé de 10,7 mois.

3/ La sédentarité, facteur de risque élevé pour de nombreuses pathologies non transmissibles

Augmenter son activité physique, par des déplacements actifs, c'est réduire le risque :

- 30 % pour les maladies coronariennes 

- 24% pour les accidents vasculaires cérébraux

- 20% pour le diabète de type II

- 15% pour le cancer du sein

- 40% pour le cancer du côlon

Cobénéfices en Santé Publique 

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Évaluation quantitative des impacts sur la santé sur trois métropoles françaises. Cette étude permet de modéliser les gains potentiels en santé permis par l'augmentation des mobilités actives. 

> Si 50% des trajets de 1 à 3 km étaient réalisés à pied, cela permettrait de réduire de 17% la mortalité évitable.​

> Si 35% des trajets de 3 à 5 km étaient réalisés à vélo, cela permettrait de réduire de 21% la mortalité évitable.

En France, la pratique actuelle du vélo (<10 min/sem, 2,7% de part modale), permet de réduire de 0,6% la mortalité évitable. Dans les pays à forte pratique cyclable comme les Pays Bas ou le Danemark (<70 min/sem) permet de réduire la mortalité évitable de 7,4%.

 

En France, chaque kilomètre parcouru à vélo permet de faire économiser 1,02€ en coûts intangibles (ou coûts sociaux) de santé.

La pollution de l'air est responsable de 40 000 décès par an, soit à court terme après une exposition directe, soit à long terme en lien avec une exposition prolongée.

Les principaux polluants étudiés sont l'ozone (O3), le dioxyde d'azote (NO2) et les particules fines (PM2,5 et PM10).

La pollution de l’air a des effets systémiques sur l’organisme, avec des impacts établis sur la mortalité, la santé respiratoire et cardiovasculaire, le développement de maladies chroniques comme le diabète, le cancer, et certaines maladies neurodégénératives. Elle affecte également la santé reproductive, périnatale, et le développement de l’enfant.

Parmi les 3193 décès recensés en 2024, 77% sont des hommes.

On dénombre également 16 000 blessés graves, sur 236 000 blessés au total.

 

Les décès concernent d'abord les personnes responsables de l'accident (63% des cas), mais lorsqu'un accident cause la mort d'une tierce personne, il s'agit, dans 54% des cas, d'un usager vulnérable (piéton, cycliste ou deux-roues motorisé).

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